Expositions

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PARIS  1968 – 1972 :

Le Prophète, sculpture de l’affiche de l’exposition à la Galerie de Beaune de 1971, 45x28x17, 1967
Le Prophète, sculpture de l’affiche de l’exposition à la
    Galerie de Beaune de 1971, 45x28x17, 1967
Guerrier, 36x31x19, 1968
Guerrier, 36x31x19, 1968
Femme accroupie, 49x30x23, 1970
Femme accroupie, 49x30x23, 1970

Critiques de la presse parisienne concernant
l’exposition de 1971 

critique finale

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VENCE 1972 – 1980 :

Composition murale, entrée de l’immeuble Les Grands Pins, Vence, Alpes-Maritimes, 1977
La Bouche d’ombre, 52×51, 1972

 

Etreinte, 54x52x38, 1972
Etreinte, 54x52x38, 1972
La vague rêvée, 47x64x44, 1974
La vague rêvée, 47x64x44, 1974
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Affiche de l’exposition de Vence de mai-juin 1972

 

 

Composition murale décorant l'entrée de l'immeuble Les Grands Pins à Vence, 1976, 180x156
Composition murale décorant l’entrée de l’immeuble Les Grands Pins à Vence, 1976, 180×156

 

Athènes, Grèce  1981 – 2011 :

Exposition  personnelle Galerie « Nées Morphès », mars 1983

Visages dans le vent, 65x46x24, 1982
Visages dans le vent, 65x46x24, 1982
Le songe d’Orphée, 42x31x26, 1981
Le songe d’Orphée, 42x31x26, 1981
 Oublieuse mémoire, 43x25x20, 1982
Oublieuse mémoire, 43x25x20, 1982

 

Masque (terre sur bois) , 25x18, 1983
Masque (terre sur bois) , 25×18, 1983
Revue d’art « Zygos », novembre décembre 1982, n° 56, pp. 53-55
                       Revue d’art « ZYGOS »

LES SCULPTURES DE B. PIERRAT  (traduction française d’extraits de l’article de la revue d’art « Zygos« , numéro 56, novembre-décembre 1982, pp.53-55)

[…] Toutes les oeuvres que signent Barbara Pierrat, depuis sa première exposition à Paris en 1971, à la Galerie de Beaune, conservent cette fluidité mélodique de la technique conjuguée à un instinct sûr, loin de tout calcul, des formes archaïques, dont cette autodidacte tire pleinement parti sans se soucier des écoles et des modes. Sa première période va être marquée par des personnages troublants et souvent facétieux, des statuettes énigmatiques dont les titres renvoient à de vagues symboles historiques : « Janus », « Scribe », « Guerrier teuton », « Femme accroupie ». Mais ces figures ne trahissent aucune imitation et semblent plutôt échappées de quelque civilisation inconnue des archéologues, à la façon dont Henri Michaux détaillait les us et coutumes de tribus et ethnies imaginaires et plus vraies que nature.

                De 1972 à 1978, l’artiste vit à Vence. La mélodie plastique s’épure, […] la gamme des premiers motifs se resserre, se limitant à la reprise d’un thème majeur, celui de l’union ou de la rencontre. Les formes s’accouplent, se dédoublent, s’articulent ou s’interpénètrent dans des volumes courbes lisses, laissant une impression de plénitude, de sérénité, d’ « oublieuse mémoire » selon le titre significatif d’une sculpture. En fin de compte, l’œuvre tend vers une sphère qui se referme sur une bouche d’ombre  que l’on distingue à peine. L’aspect monumental de sculptures de dimensions pourtant modestes, qu’avait souligné la critique du « Monde » Geneviève Bréerette à la première exposition parisienne,  gagne désormais en sobriété, comme si chaque pièce était un condensé de matière mythique. Faut-il y voir un effet de son retour en Grèce ? Certes, en s’établissant dans ce pays en 1980, l’artiste rejoint le foyer des grands mythes. Mais  plutôt que de parler à ce propos d’influence hellénique, disons que l’artiste ne fait que suivre la pente naturelle où l’entraînait de toute façon son œuvre et que, à ce stade de maturité et sous ce nouveau ciel, elle trouve une confirmation de son dessein le plus profond et le concrétise en  renouant peu à peu avec la figuration. Non seulement la leçon de Vence n’est pas oubliée mais elle lui permet de donner davantage de vigueur et de simplicité aux corps et, par-dessus tout, aux nombreux visages jumeaux qui envahissent son atelier et pour lesquels on pourrait forger le terme d’amphi-visages. Sinon, comment rendre compte de cette obstination à présenter le couple dans son unité, à donner un sentiment de tendresse et de gravité, tout en  traversant chaque composition d’une entaille profonde ou d’une légère succession de volumes.  Masques et bas-reliefs viennent enrichir ce thème central. Il y a là quelque chose qui remonte des profondeurs de la terre, une vision venue des temps premiers ou qui annonce les temps derniers – c’est tout comme. La tentative de cette jeune femme s’inscrit alors dans un courant de la sculpture contemporaine que représentent éminemment Henry Moore, Hans Arp et Barbara Hepworth, et dont l’intention est manifeste : suggérer la relation de l’art d’aujourd’hui avec celui des origines.

Critiques de la presse nationale grecque 1983-1995

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Vigilance I, 54x50x24, 1983
Vigilance I, 54x50x24, 1983
Vigilance II, 49x46x13, 1983
Vigilance II, 49x46x13, 1983

Exposition personnelle à Pangrati, décembre 1990 :

La difficulté d’être, 29x12x16, 1985
La difficulté d’être, 29x12x16, 1985
Tourment cyclique, 43x41, 1988
Tourment cyclique, 43×41, 1988
Multiple, 33x22x15, 1989
Multiple, 33x22x15, 1989
Blessure, 53x34x29, 1990
Blessure, 53x34x29, 1990
Défiance, 31x26x14, 1990
Défiance, 31x26x14, 1990
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Nu allongé, 41x26x19 , 1990

Exposition personnelle à l’Athens Center Theater, mars 1995 :

panoramique de l’exposition
panoramique de l’exposition
Un seul cri, 54x40x12, 1994
Un seul cri, 54x40x12, 1994
 Le doute partagé, 48x36x20, 1994
Le doute partagé, 48x36x20, 1994
 Le Gynécophage, 60x46x14, 1995
Le Gynécophage, 60x46x14, 1995
Jour de colère, 42x45x12, 1994
Jour de colère, 42x45x12, 1994
Les-suppliantes,-29x31x13,-1994
Les suppliantes, 29x31x13, 1994
Le distrait, 56x30x30, 1994
Le distrait, 56x30x30, 1994

 

Critique du quotidien grec de langue anglaise « Athens News », 18 mars 1995, sur l’exposition       de l’Athens Center

 

Loiret 2011 –

 Vision calme, 29x19x23, 2013
Face au monde, 29x19x23, 2012
Le-récit,-32x324x22,-2014
Le récit, 32x324x22, 2014
012
Oracle confus, 54x38x29, 2014
029
Egarement,  39x27x25,  2015
022
La scission, 29x37x19, 2015