1944-1966: Naissance à Oran (Algérie) en février 1944. La famille rejoint la France deux ans plus tard. Scolarité complète à Haguenau (Bas-Rhin). Lors d’un premier séjour en Grèce en 1963-65, s’initie à la peinture sur céramique à l’Atelier d’art Kardiakos. À son retour en France en 1966, elle découvre chez un potier une terre réfractaire de L’Hospied (Golfe Juan) qui, tout en offrant une grande plasticité, restitue, une fois cuite, l’aspect, la robustesse et le poids de la pierre. Elle en fait son matériau privilégié et crée ses premières sculptures.
1966-e1972 : réside à Paris. Suzanne de Coninck, attachée au Musée d’Art Moderne, accueille sa première exposition personnelle dans sa Galerie de Beaune, à Paris VIe , du 16 avril au 4 mai 1971. Participe parallèlement à la 3e biennale internationale de Mérignac présidée par Edouard Pignon.
1972 -1980 : s’installe à Vence. Exposition personnelle à la galerie Odile Harel de la ville en mai 1972. Contribue au «Jardin d’explosition» de Saint-Paul-de-Vence organisé par Henri Baviera avec le concours d’une cinquantaine d’artistes dont bon nombre se rattachent à l’Ecole de Nice. Participe au 91e et nouveau Salon de l’Union des Femmes peintres et sculpteurs «Feminies75», tenu à Paris, et aux éditions suivantes de celui-ci et de la Biennale de Mérignac. Nouvelle exposition personnelle à la Galerie « Pégase » de Mouans-Sartoux en mai 1975.
1981-2011 : s’installe en Grèce de manière permanente avec sa famille. Elle y donne des expositions personnelles à la Galerie «Nées Morphés» d’Athènes en janvier-février 1983, à Pangrati (Athènes) en décembre 1990 et à l’Athens College Theater (Centre culturel américain) en mars 1995, puis à nouveau à Pangrati en avril 2003 et mars 2008 La revue d’art « Zygos » présente son travail le plus récent dans son numéro de novembre-décembre 1983 et la Deuxième chaine de la TV hellénique lui consacre une émission de vingt minutes dans le cadre de la série « Une femme, une œuvre » en juin 1984.
2011 -: Depuis son retour en France en 2011, réside dans le Loiret et travaille presque exclusivement la « white stone » d’origine britannique qu’elle a adoptée à la fin des années 90.
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